Table
des matières – Janvier 2003 |
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Nota : si
vous cliquez sur une image ou une illustration, vous affichez une version
plus grande des images en question.
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Toutes
roues motrices et quatre roues motrices |
General Motors offre
un nombre record de véhicules entraînés par les
quatre roues (fig. 1). Vous avez dû
entendre des expressions comme quatre roues motrices, 4 x 4, toutes
roues motrices, quatre-roues et peut-être même d’autres.
Cependant, les composants de ces systèmes ne sont pas tous semblables,
leur fonctionnement n’est pas le même et leurs caractéristiques
de fonctionnement sont différentes.
Ce qui suit vise à éclaircir certaines confusions.
Définitions
Tous les systèmes à roues motrices multiples sont en mesure
de transmettre le couple moteur à toutes les quatre roues à
un moment donné. Pour ce faire, on relie une boîte-transfert
à la sortie de la transmission, pour transmettre le couple aux
essieux avant et arrière. Chaque essieu comporte un différentiel
qui transmet à son tour le couple aux roues droite gauche.
Les systèmes à roues motrices multiples sont classés
en deux grandes catégories, en fonction du type de boîte-transfert
utilisé.
En ce qui a trait aux systèmes toutes roues motrices, la boîte-transfert
a une seule vitesse ou plage.
Pour ce qui est des systèmes à quatre roues motrices,
tous comportent une boîte-transfert à deux vitesses, que
l’on nomme plage haute et plage basse.
Comme vous verrez, il n’est plus très simple de comprendre
les diverses fonctions, caractéristiques et conditions de fonctionnement.
Caractéristiques de fonctionnement
Toutes roues motrices
Certains systèmes toutes roues motrices sont appelés systèmes
sur demande. Le couple est transmis à un seul
essieu jusqu’à ce que ses roues patinent. Ensuite, le couple
est transmis à l’autre essieu. Le choix du moment de transmission
du couple au deuxième essieu, et la quantité de couples
transmis, peut se faire électroniquement ou mécaniquement
(fig. 2).
Un autre type de système d’entraînement toutes roues
motrices se nomme prise constante. Pour ces systèmes,
le couple est transmis aux deux essieux tout le temps, à différentes
quantités. Lorsque les roues à une extrémité
du véhicule commencent à patiner, le couple est transmis
à l’extrémité opposée, où il
y a encore de la traction.
Si le fonctionnement des véhicules à entraînement
toutes roues motrices semble très simple, les systèmes
peuvent faire plus de bruit et ont de plus nombreuses caractéristiques
inusitées que les entraînements à deux roues. Un
plus grand nombre de pièces tourne et il y a plus d’engrenages
qui s’engrènent.
Lorsqu’un système sur demande enclenche le deuxième
essieu, il se peut que les occupants entendent et sentent le fonctionnement
des composants. Le conducteur doit aussi tenir compte de la sensation
et des bruits lorsqu’il prend les virages, même sur des
surfaces à bonne traction où le deuxième essieu
n’est pas appelé à fonctionner.
Quatre roues motrices, temps partiel
Dans les systèmes à quatre roues motrices à temps
partiel, le couple est normalement transmis uniquement à l’essieu
arrière. Lorsque le conducteur le souhaite, il peut aussi enclencher
l’essieu avant. De plus, le conducteur peut sélectionner
entre les plages haute et basse. Certains systèmes à temps
partiel offrent également une fonction automatique qui peut choisir
entre les modes deux roues ou quatre roues motrices selon le besoin,
sans que le conducteur n’ait à faire quoi que ce soit.
Cependant, même pour ces systèmes, le conducteur doit choisir
entre une plage haute et une plage basse.
Dans un système à temps partiel, les occupants peuvent
sentir ou entendre « quelque chose » lorsque l’essieu
avant est enclenché. La boîte-transfert fait plus de bruit
en mode 4 haut qu’en mode 2 haut. De même, la réduction
supplémentaire du mode 4 bas peut même faire un peu plus
de bruit. (fig. 3).
Les systèmes à temps partiel ne sont pas munis d’un
différentiel ou d’autres dispositifs qui permettent aux
arbres de transmission avant et arrière de tourner à différents
régimes. Ainsi, si un véhicule est utilisé en mode
quatre roues motrices sur un pavé dur, le coincement de la chaîne
cinématique peut entraîner le « piétinement
» des pneus, que l’on peut sentir et entendre. Ceci résulte
du fait que les quatre pneus ne tournent pas exactement au même
régime, soit d’un côté à l’autre
ou de l’avant à l’arrière. À la longue,
cette différence de régime entraîne un certain coincement
ou « perte de traction » de la chaîne cinématique
et l’un ou l’autre des pneus doit perdre temporairement
sa traction sur le pavé pour éliminer l’énergie
accumulée. Sur les surfaces non pavées, les pneus peuvent
patiner selon le besoin pour éliminer le coincement sans causer
de piétinement ou de bruit.
Il peut y avoir un bruit si l’on fait fonctionner le moteur lorsque
la boîte-transfert est au neutre et le passage au neutre ou à
d’autres vitesses peut entraîner un certain choc normal
d’engrenage.
Quatre roues motrices, temps plein
Le système à quatre roues motrices automatique transmet
le couple à quatre roues tout le temps, de la même façon
que les systèmes toutes roues motrices. Mais, comme c’est
le cas pour les systèmes à quatre roues motrices, il est
aussi muni d’une plage basse. Le conducteur peut sélectionner
(en fonction du modèle) 4 HI, 4HI Lock, 4 LO Lock et le neutre
(fig. 4).
Quatre roues motrices, actif
Ce système permet au conducteur de choisir parmi ces cinq plages
: 2 HI, Auto 4WD, 4 HI, 4 LO et le neutre (fig.
5).
Ces véhicules peuvent être conduits tout le temps en mode
Auto, malgré qu’il y ait une augmentation de consommation
de carburant et l’augmentation du bruit.
Lorsqu’on les conduit à 4-HI ou 4-LO, les véhicules
peuvent présenter un certain piétinement. Cependant, lorsqu’on
les conduit en mode Auto, le fonctionnement du groupe embrayage compense
les différents régimes d’arbres de transmission.
Tous les systèmes
Que ces véhicules produisent un certain bruit n’est rien
de nouveau — ils ont toujours été présents
dans les véhicules quatre roues motrices / toutes roues motrices.
Cependant, les véhicules modernes sont construits afin de présenter
un fonctionnement et une tenue de route plus silencieux. Ainsi, Les
bruits et sensations normaux sont plus facilement ressentis.
Il existe une façon de déterminer si un bruit ou un état
est inhabituel ou typique, il s’agit de faire fonctionner un véhicule
semblable dans des conditions similaires.
Il faut conduire le véhicule dans des conditions qui reproduisent
le problème du client. Assurez-vous de faire fonctionner toutes
les plages, en deux et quatre roues motrices. Essayez la plage Auto
si le véhicule en est équipé. Conduisez en ligne
droite, et dans des virages.
CONSEIL : Pour
ce qui est des systèmes quatre roues motrices à temps
partiel, il est important que tous les pneus aient la même circonférence,
afin d’éviter le coincement de la chaîne cinématique
et de piétinement qui en résulte. Non seulement les pneus
doivent-ils être de même dimension, mais également
de la même marque et du même type. C’est parce que
la circonférence peut varier d’une marque à l’autre
et d’un type à l’autre. Cela représente peu
de choses, mais peut suffire à entraîner des problèmes.
De même, le gonflement approprié et égal des pneus
est aussi très important et est souvent ignoré. De plus,
l’usure excessive de l’un des pneus peut entraîner
une différence de circonférences.
Application
actuelle des boîtes-transferts |
TRUCK
TRANSFER CASE |
RPO |
VEHICLE |
TYPE |
STYLE |
None |
Tracker |
– |
2-speed, manual
shift |
None |
Trailblazer,Envoy |
NVG266 |
2-speed, active,
no pre-load |
NP1 |
HD 2500/3500
Silverado/Sierra, 2003 |
NVG263
EAU HD/SHD |
2-speed, electric
shift, new electrical architecture |
NP1 |
S-10/Sonoma,
Jimmy/Blazer |
NVG233 |
2-speed, electric
shift |
NP2 |
HD 2500/3500
Silverado/Sierra |
NVG
261HD/SHD
|
2-speed, manual
shift |
NP2 |
Silverado/Sierra |
NVG 261 |
2-speed, manual
shift |
NP3 |
G/H Van: Express/Savana |
BW 4473 |
1-speed, full
time AWD, viscous coupling |
NP3 |
Denali Sierra,
Silverado SS |
NVG 149 |
1-speed, full
time AWD, viscous coupling |
NP4 |
Safari/Astro |
NVG 136 |
1-speed, on-demand
AWD, active t-case with pre-load |
NP4 |
Bravada |
NVG 126 |
1-speed, on-demand
AWD, active t-case without pre-load |
NP8 |
Jimmy/Blazer |
NVG 236 |
2-speed active
t-case, selectable |
NP8 |
Silverado/Sierra,
Tahoe/Yukon, Suburban/Yukon XL, Avalanche, 2003 |
NVG 246
EAU |
2-speed active
t-case, selectable, new electrical architecture |
NR3 |
Denali, Escalade |
BW 4481 |
1-speed, full-time
AWD, open differential with traction control |
None |
Hummer
H2 |
BW4484 |
2-speed, full-time
AWD, open differential with traction control,high and low range
lock |
NR4 (Incl.With
JL4) |
Tahoe/Yukon,
Suburban/Yukon XL |
BW4482 |
2-speed, full-time
AWD, open differential with traction control, low range lock |
|
NOTE:
ACTIVE 2 SPEED HAS
AUTO 4WD, 2HI, 4HI, 4LO; ACTIVE
1 SPEED HAS AUTO 4WD ONLY |
CAR
TRANSFER CASE |
RPO |
VEHICLE |
TYPE |
STYLE |
None |
A/B Aztek,
Rendezvous |
STEYR |
AWD, on demand,
gerotor pump at the rear drive module |
None |
U/V Montana,
Ventura, Silhouette |
STEYR |
AWD, on demand,
gerotor pump at the rear drive module |
None |
Vibe |
— |
AWD, on demand,
viscous coupling at the rear axle |
-
Merci à BJ Lackey |
figure
1 |
figure
2
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figure 3 |

figure 4 |

figure
5 |
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Refonte
du guide de temps forfaitaires
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RENSEIGNEMENTS
À L’INTENTION DES GÉRANTS DE SERVICE ET DES ADMINISTRATEURS
DE GARANTIE AUX ÉTATS-UNIS
À compter du 1er février 2003, le guide des temps forfaitaires
de GM doit être revu. Il revêtira maintenant les mêmes
aspects et les mêmes fonctions globaux que les autres documents
d’entretien de GM, comme le SI et les manuels du propriétaire.
(fig 6)
Le nouveau guide des temps forfaitaires vous sera transmis sur deux CD,
l’un comportant l’application et l’autre les données.
À l’avenir, vous recevrez des mises à jour tous les
deux mois (les mois ayant des numéros « pairs », comme
avril, juin, etc.).
Conseils d’utilisation
Pour utiliser le nouveau guide des temps forfaitaires, il faut d’abord
« assembler » le véhicule visé. Pour ce faire,
on utilise des menus déroulables qui permettent de préciser
l’année-modèle, la marque et le modèle.
EXEMPLE : Buick LeSabre 2003
Cliquez sur Prochain, puis cliquez sur Guide des temps forfaitaires.
Vous pouvez maintenant rechercher les travaux précis de main-d’œuvre
de trois façons.
- Selon le nom, à l’aide de la nomenclature courante de l’industrie.
- Selon le numéro, si vous le connaissez.
- Selon le menu.
Des espaces sont prévus où vous pourrez taper le nom ou
le numéro.
Le menu énumère les catégories d’opérations
par lettre et par nom. Si vous n’êtes pas certains de la terminologie
ou du nombre exacts, ceci est probablement la meilleure façon d’effectuer
votre recherche. Il suffit de cliquer sur votre choix. Les noms ci-dessous
viennent après la terminologie SI.
EXEMPLE : Moteur J
Dans la plupart des cas, le prochain affichage présente des sous-catégories
à l‘intérieur d’une grande catégorie.
Encore une fois, cliquez sur votre choix. Ces noms suivent également
la terminologie SI.
EXEMPLE : Mécanique du moteur
À l’intérieur de la sous-catégorie, vos résultats
de recherche sont disposés par code de main-d’œuvre
à cinq chiffres, suivis des titres des opérations de main-d’œuvre.
Cliquez sur votre choix pour visualiser le numéro d’opération
de même que le temps forfaitaire relié à ce numéro,
exprimé en heures et en dixièmes.
CONSEIL : « Ajouter temps » est
aussi affiché lorsque c’est approprié
- Merci à Bob Savo et Lisa Scott |

figure
6 |
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Émissions
de savoir-faire de février |
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Émissions
de savoir-faire de février |
Questions
d’actualités |
12
février 2003 |
9
h, 12 h 30, 15 h 30, heure de l’Est |
Aperçu
technologique |
27
février 2003 |
9
h, 12 h 30, 15 h 30, heure de l’Est |
-
Merci à Tracy Timmerman |
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Diagnostic
de dépression naturelle, moteur éteint |
Le
système EVAP d’un véhicule est conçu afin
d’empêcher le carburant évaporé (vapeur de
carburant) dans le système de carburant de s’échapper
à l’atmosphère. Conformément aux règlements
OBD II, les véhicules doivent être en mesure d’effectuer
des autovérifications périodiques qui permettent de détecter
s’il y a des fuites. La norme actuelle exige que le système
puisse détecter des fuites aussi petites que 0,020 po (0,51 mm).
Le nouveau système de diagnostic de pression naturelle avec moteur
éteint (EONV) équipe les camions suivants de 2003 avec
moteurs V6 et V8 :
- véhicules respectant les normes d’émission fédérales
dont le PNB est de 8 600 lb (3 900 kg) ou moins.
- Les véhicules qui respectent les normes d’émission
californiennes dont le PNB est de 14 000 lb (6 350 kg) ou moins.
En ce qui a trait aux véhicules visés, le système
diagnostique EONV remplace seulement la méthode de détection
précédente de petites fuites. Tous les autres contrôles
des composants du système EVAP fonctionnent toujours pendant
le fonctionnement du moteur. Parmi ceux-ci, mentionnons la détection
des grosses fuites, le système de ventilation restreint, la dépression
excessive, et autres.
Ensuite, après arrêt du moteur, le test EONV fonctionne,
à condition que tous les contrôles sur moteur ont réussi.
Principes de fonctionnement
L’EONV utilise les variations naturelles de pression dans le réservoir
de carburant afin de détecter des fuites.
La pression dans un contenant scellé suit les variations
de température. C’est-à-dire que la pression augmente
lorsque la température augmente, et diminue lorsque la température
diminue.
Lorsque le véhicule est utilisé, le carburant dans le
réservoir est réchauffé, même dans les systèmes
de carburant sans retour, par l’air chaud provenant du moteur,
du radiateur et du système d’échappement. La pression
augmente dans le réservoir de carburant. Ceci est vrai, même
lorsque la température ambiante est froide.
Après arrêt du moteur, la pression augmente pendant un
certain temps, puis à la longue diminue lorsque le carburant
dans le réservoir se refroidit. Le système EONV fonctionne
selon la présence ou l’absence de variation de pression
naturelle afin de détecter les fuites. S’il y a même
une très petite fuite, la variation de pression prévue
ne se réalise pas.
Dans le système scellé, on détecte une quantité
très restreinte de pression ou de dépression. En présence
d’une fuite de 0,020 po (0,51 mm), on ne détecte que très
peu ou pas du tout de pression ou de dépression.
Expérience
À la température de la pièce, serrez le bouchon
d’une bouteille de liqueur douce vide et mettez-la dans le réfrigérateur.
Après quelques minutes, observez la bouteille.
Si la température de l’air dans la bouteille diminue, la
pression diminue également, ce qui est indiqué par un
affaissement partiel de la bouteille (fig. 7).
Il s’agit d’une représentation très simplifiée
de ce qui arrive à un réservoir de carburant après
l’arrêt du moteur lorsque le carburant et le réservoir
se refroidissent.
S’il y a même un trou minuscule dans la bouteille de liqueur
douce ou dans son bouchon, il n’y a pas d’affaissement parce
que la fuite permet à la pression à l’intérieur
de la bouteille de s’équilibrer avec la pression de l’air
ambiant.
Ce qui est différent à propos de l’équipement
EVAP sur les systèmes EONV
En réalité, aucun des accessoires n’a changé.
On a installé tous les mêmes plomberies, solénoïdes,
soupapes, et détecteurs de pression/dépression du réservoir
de carburant (fig. 8). Cependant, le logiciel
du PCM a été modifié afin de procéder aux
contrôles nécessaires et le solénoïde de ventilation
de la cartouche est câblé à la tension de batterie
plutôt qu’au contact d’allumage 1.
A Réservoir de carburant
B Cartouche EVAP
C Capteur FTP
D Soupape de ventilation de cartouche
E Orifice de service
F Soupape de purge de cartouche
Les méthodes de détection précédentes des
fuites fonctionnaient lorsque le moteur tournait. Maintenant, le système
EONV contrôle la pression ou la dépression du système
EVAP même si le contact est à off. Il peut se passer jusqu’à
40 minutes avant que le PCM s’éteigne.
CONSEIL : Il est important de se rappeler
ce détail lorsqu’on effectue un contrôle d’épuisement
parasite sur les véhicules équipés du système
EONV.
Pour éviter le déchargement de la batterie, le diagnostic
limite le nombre de contrôles qui peuvent se dérouler au
cours d’une période de temps spécifique. Lorsque
le contrôle EONV est passé, la durée calibrée
entre les contrôles est prolongée.
Fonctionnement étape par étape
Bien que le contrôle EONV a lieu après l’arrêt
du moteur, le processus commence en réalité avant que
le moteur ait démarré. C’est parce que le contrôle
EONV ne peut fonctionner que lorsque les autres contrôles EVAP
se sont déroulés pendant le fonctionnement du moteur,
ce qui nécessite un arrêt et un refroidissement assez longs.
À toutes fins pratiques, cela limite le passage des contrôles
EONV à au plus une fois par jour. Un long refroidissement répond
aux exigences ci-dessous :
- température d’admission d’air au démarrage
(IAT) entre 39 et 86 °F (4 À 30 °C);
- température du liquide de refroidissement moteur au démarrage
(ECT) moins de 86 °F (30 °C);
- différence maximale de 15 °F (8 °C) entre IAT et ECT.
Après démarrage, il faut respecter les exigences suivantes
avant que le contrôle EONV ne soit enclenché :
- température ambiante entre 40 et 96 °F (4 et 35 °C).
Pour de plus amples renseignements à ce sujet, voir les sous-fonctions
ci-dessous;
- niveau de carburant entre 15 et 85 % plein;
- temps de fonctionnement du moteur, distance parcourue et température
du liquide de refroidissement du moteur doivent indiquer que le système
est adéquatement réchauffé;
- certains DTC ne sont pas présents. Voir le SI pour les détails.
Le diagnostic EONV compte trois contrôles, c’est-à-dire
: volatilité, pression et dépression.
Contrôle de volatilité — Le diagnostic
EONV est très sensible aux grandex quantitéx de vaporisation
de carburant, compte tenu de la volatilité élevée
du carburant. Le contrôle de volatilité permet de vérifier
que les taux de vaporisation n’auront pas d’effet négatif
sur les résultats.
Le contrôle de volatilité EONV fonctionne immédiatement
après l’arrêt si tous les critères de fonctionnement
ont été respectés. Le PCM contrôle la pression
au cours d’une période déterminée pendant
que l’évent de la cartouche est ouvert et utilise les valeurs
préprogrammées pour prédire la volatilité
du carburant. La logique de ce contrôle est que si la pression
augmente dans le système lorsque l’évent de la cartouche
est ouvert, il sera certainement en mesure de cacher une fuite de 0,020
po (0,51 mm) lorsque l’évent est fermé.
Si le contrôle permet de déterminer que la volatilité
du carburant est élevée, le PCM couple diagnostic. Si
le carburant est modérément volatil, le diagnostic continue,
il y a alors compensation pour la volatilité. Si la volatilité
est faible, le diagnostic fonctionne sans corrections.
Contrôle de pression — Le contrôle
de pression commence par la fermeture du solénoïde de ventilation
de la cartouche et l’observation de l’augmentation de pression
dans le réservoir de carburant. À ce moment, le carburant
est toujours assez chaud pour qu’il y ait une certaine vaporisation.
- Si l’augmentation de la pression atteint le seuil de pression
calibré, le diagnostic est réussi, ce qui indique que
le système n’a pas de fuite et que le contrôle est
terminé. Le seuil de pression est une fonction de la température
ambiante prévue et du niveau de carburant.
- S’il y a dépression, le diagnostic passe directement
au contrôle de dépression sans qu’il y ait de purge.
- Si le seuil de pression n’est pas atteint, le PCM enregistre
la pression de crête atteinte et règle le seuil de dépression
aux fins de contrôle de dépression. Ensuite, le PCM ouvre
la soupape de ventilation de la cartouche et attend qu’il y ait
purge de pression du système.
La pression doit diminuer à une vitesse graduée à
partir de la pression crête pour que le PCM puisse la prendre
comme pression crête et passer au contrôle de dépression.
Le seuil de dépression réglé est égal à
la différence entre la pression de crête et le seuil de
pression.
Contrôle de dépression — Pendant
le contrôle de la dépression, le PCM ferme la soupape de
ventilation de la cartouche et surveille la dépression du réservoir
afin de déterminer si le seuil de dépression est atteint.
- Si le seuil de dépression est atteint, ce qui indique que le
système peut maintenir une dépression, le diagnostic est
réussi et le contrôle est terminé.
- Si le seuil de dépression n’est pas atteint, le PCM doit
comparer la dépression à celles des contrôles déjà
enregistrés avant de déterminer s’il faut enregistrer
un « échec ». Voir les explications ci-dessous.
CONSEIL : Ces résultats de contrôles
ne peuvent pas être affichés sur le Tech 2. Après
au moins trois réussites successives, le drapeau « pass
» est affiché.
Résultats diagnostiques
Le PCM quantifie les résultats du diagnostic, en intégrant
les résultats des contrôles de pression et de dépression.
Le résultat obtenu est ensuite comparé aux résultats
déjà enregistrés. S’il dépasse le
seuil d’échec du PCM, le MIL est allumé et un DTC
P0442 est établi, indiquant une fuite de plus de 0,020 po (0,51
mm).
Sous-fonctions
Le système EONV doit effectuer un certain nombre de sous-fonctions
pour procéder au diagnostic EONV.
Calcul de la température ambiante — Le
système EONV doit évaluer la température ambiante.
Parce que les contrôles EONV ont lieu à la fin du cycle
de conduite, il ne suffira pas de mesurer la température de l’air
d’admission au démarrage. Le PCM :
- Tient compte de la vitesse du véhicule et du débit d’air
pour calculer une valeur déportée, qui est soustraite
de la température de l’air d’admission et permet
de prédire la température ambiante.
- Compare la température ambiante estimative à la température
de l’air d’admission pendant une durée de temps préétablie
après un démarrage à froid.
Calcul du remplissage — Le PCM cherche une augmentation
nette du niveau de carburant pendant le contrôle. Le PCM recherche
également les variations abruptes de dépression pendant
une durée prédéterminée, de même que
les variations du niveau de carburant ou de la pression du système
qui indiquent que l’on a procédé à un remplissage.
Le PCM détecte les remplissages uniquement lorsque l’évent
est fermé.
S’il détecte un remplissage, le PCM arrête le diagnostique
et ouvre l’évent de la cartouche. Cet évent doit
être ouvert rapidement afin de l’empêcher de se refermer
trop solidement. Il y a bouchage lorsque le solénoïde d’évent
de cartouche n’est pas ouvert assez rapidement, et que la pression
du système EVAP maintient le solénoïde d’évent
de la cartouche fermé.
Contrôle de rationalité — Le contrôle
de rationalité permet de déterminer si la détection
de remplissage a été engendrée par un signal intermittent
ou un remplissage réel du véhicule. Pendant ce contrôle,
le PCM vérifie si le niveau de carburant actuel est supérieur
au niveau de carburant initial pendant une période prédéterminée.
Si la période prédéterminée s’écoule
et que le PCM n’est pas en mesure de déterminer si le niveau
de carburant est plus élevé, le remplissage est déclaré
irrationnel et un DTC est établi pour le détecteur qui
a détecté un faux remplissage.
Autres
CONSEIL : Parce que le PCM continue de
fonctionner pendant le contrôle de l’EONV, il est possible
d’observer des données sérielles à l’aide
du Tech 2. Vous pouvez visualiser les commandes de la soupape de ventilation
et les valeurs provenant du capteur FTP, par exemple. Après que
le PCM a complété le contrôle EONV, il s’éteint
et les données sérielles cessent d’être transmises.
CONSEIL : Si le client doit ramener son
véhicule dans un poste d’inspection I/M après un
entretien pendant lequel on a effacé les DTC, il faut lui expliquer
qu’il doit attendre quatre jours. Le contrôle EONV fonctionne
seulement une fois par jour à cause de l’exigence de refroidissement.
Et le « drapeau » d’octet de l’état I/M
indique prêt/complet seulement après au moins trois contrôles
réussis.
-
Merci à Jack Woodward, Chad Lehner et Jeff Kemph |

figure
7
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figure
8 |
Table
des matières |
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Revue
de la machine à fumée |
Dans
le numéro de novembre 2002, nous avons étudié les
principes de fonctionnement ainsi que les conseils diagnostiques visant
le système EVAP sur la Pontiac Vibe et la Chevrolet Prizm. Ce
mois-ci, l’article portera sur le système EONV qui équipe
certains camions 2003.(fig. 9)
Ainsi, il est approprié de revoir l’appareil de vérification
EVAP J-41413-200 (EEST ou « machine à fumée »)
dont il a d’abord été question dans le numéro
d’octobre 2001. Voici d’autres conseils qui peuvent être
utiles.
CONSEIL : Vous voudrez sans doute consulter
d’abord l’article précédent. Au besoin, vous
pourrez en trouver une copie sur le site Web TechLink à http://service.gm.com.
L’EEST a été conçu pour vous aider à
trouver les très petites fuites du système EVAP, définies
dans les règlements OBD 2 comme des fuites de 0,020 po (0,51
mm) ou plus. À cette fin, il pressurise le système à
l’aide d’huile minérale vaporisée, qui se
présente sous forme de fumée et s’échappe
d’une fuite. L’appareil comprend une lumière brillante
qui aide à voir la fumée.
L’EEST est aussi muni d’un débitmètre de précision,
qui vous aidera à déterminer si vous avez bien colmaté
la fuite une fois que vous l’avez située et réparée.
Utilisation de la machine à fumée
L’EEST peut être branché au système EVAP à
deux endroits, cela dépend des instructions dans le SI. Il y
a l’orifice d’entretien EVAP sous le capot avec le bouchon
vert et le col de remplissage de carburant.
Vous pouvez brancher à l’orifice d’entretien sans
déranger les raccords ou les connexions du système.
CONSEIL : Si la fuite que vous recherchez
se trouve entre le col de remplissage et le bouchon de remplissage,
le fait de retirer et de remplacer le bouchon pour les fins du contrôle
peut éliminer la fuite.
CONSEIL : Il est recommandé que
le réservoir ne soit pas plein avant d’effectuer le contrôle
de fumée.
C’est parce que, pour certains véhicules, le col de remplissage
de carburant se rend au réservoir par le côté. Si
le carburant se trouve au-dessus de ce niveau, la fumée provenant
de l’orifice d’entretien doit passer par le carburant liquide
pour atteindre le col et le bouchon de remplissage. Une partie ou la
totalité de la fumée se dissoudra dans le carburant et
n’atteindra pas le col de remplissage. Par conséquent,
pour vous assurer que vous avez bien contrôlé tous les
éléments du système pour découvrir les fuites,
il peut être nécessaire de « fumer » le système
autant par l’orifice d’entretien que par le col de remplissage.
Il existe de nombreux adaptateurs de cols de remplissage destinés
à cette fin.
L’importance d’effectuer le contrôle à
l’aide du débitmètre
De nombreux véhicules ne sont pas équipés d’un
branchement permettant les contrôles d’EVAP en aire de service,
pour déterminer si une réparation de fuite EVAP a bien
été faite. Ainsi, le débitmètre dans l’EEST
est la seule méthode pratique de s’assurer que vous avez
bien situé et réparé une petite fuite.
CONSEIL : Vous apprendrez dans l’article
d’accompagnement que l’autovérification de petites
fuites EONV ne signale pas une réussite/échec tant que
trois contrôles successifs de petites fuites n’ont pas été
effectués. Cela prend au moins trois jours de fonctionnement.
Encore une fois. Utilisez le débitmètre pour déterminer
si vous avez bien effectué la réparation.
Pour la plupart des systèmes, l’utilisation du débitmètre
est la meilleure façon d’empêcher que le client ne
revienne. Mais avec l’EONV, il vous est impossible de savoir si
vous avez fait une bonne réparation par un autre moyen.
-
Merci à Jack Woodward |

figure
9
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Nécessaire
de lavage et de contrôle débit du refroidisseur d’huile
de transmission |
Des études effectuées par GM indiquent qu’une restriction
du débit d’huile de transmission nuit à la durée
de vie de toute transmission automatique. Les refroidisseurs d’huile
bouchés ainsi que les canalisations bloquées du refroidisseur
d’huile entraînent une lubrification insuffisante et des températures
de fonctionnement élevées qui peuvent entraîner la
défaillance prématurée de la transmission. Plusieurs
cas de réparations répétées peuvent être
prévenus en suivant les méthodes publiées visant
le lavage et le contrôle du débit du refroidisseur d’huile
de transmission.
Le TransFlow J-45096 est un nécessaire de lavage du système
de refroidissement d’huile de transmission et de contrôle
du débit qui sera autorisé aux fins de distribution en décembre
(fig. 10).
Ce nouveau nécessaire a pour principal avantage qu’il utilise
un liquide de transmission automatique Dexron III conventionnel comme
agent de nettoyage. Contrairement aux nécessaires de lavage du
refroidisseur d’huile précédents, il ne contient pas
de détergent, d’autres produits chimiques nettoyants ou d’eau
chaude, ainsi il n’y a pas de déchets dangereux à
éliminer.
Le TransFlow J-45096 est posé dans une armoire sur roues semblable
au poste d’entretien du climatiseur ACR 2000. Il comporte :
- un contenant d’approvisionnement d’huile de 32 pintes;
- un contenant d’huile de vidange de 34 pintes;
- un raccord d’alimentation automatique;
- un débitmètre numérique;
- un câble électrique de 10 pi 12 V CC;
- un boyau d’alimentation d’huile noir de 10 pi avec raccord
rapide;
- un boyau d’huile de vidange transparent de 10 pi avec rapport
rapide.
L’équipement TransFlow est branché aux canalisations
du refroidisseur d’huile de transmission du véhicule par
les adaptateurs de canalisation actuellement en place. Le TransFlow comporte
également deux adaptateurs. On a aussi approuvé, par le
passé, cinq autres adaptateurs. De plus, trois adaptateurs communs
sont disponibles dans le nécessaire J-45096. Tous ces adaptateurs
sont énumérés et illustrés dans le manuel
d’utilisation. Communiquez avec Kent-Moore au 1.800.345.2233 pour
de plus amples renseignements (fig. 11).
En mode lavage, l’air comprimé force le liquide de transmission
propre dans le refroidisseur d’huile et les canalisations. Cela
repousse l’huile sale ainsi que les blocages. Pour améliorer
l’action de nettoyage, l’huile est agitée par des poussées
d’air. Le refroidisseur est d’abord lavé à contresens,
puis dans le sens normal d’écoulement.
L’huile de vidange est recueillie dans le réservoir de vidange
intégré.
Après lavage, utilisez le débitmètre numérique
du nécessaire J-45096 pour effectuer un contrôle du débit.
Le manuel de l’utilisateur propose également des tableaux
de débit minimal.
CONSEIL : Les débits minimaux varient,
selon que le refroidisseur d’huile est fabriqué en aluminium
ou en acier. Les débits varient également en fonction de
la température. Assurez-vous de bien calculer ces deux variables
avant procéder au contrôle du débit.
Le contrôle de débit indique si le refroidisseur ou les canalisations
d’huile présentent toujours des blocages, que l’on
doit régler avant que la réparation soit terminée.
Au besoin, le TransFlow fournit, à la suite du contrôle de
débit, un code de garantie encodé à sept chiffres.
L’ensemble lavage et contrôle de débit ne dure que
cinq à huit minutes.
On peut vider le réservoir de vidange en utilisant soit un boyau
d’aspiration raccordé à l’orifice prévu
ou en le vidant à l’aide du robinet fixé au bas du
réservoir. Dans les deux cas, l’huile de vidange peut être
éliminée de la même façon que n’importe
quelle autre huile de transmission vidangée.
Les méthodes inscrites dans le SI doivent être modifiées
afin de tenir compte du nouvel ensemble J-45096 de lavage et de contrôle
de débit.
- Merci à Dan Popoff, Russ Dobson et
Dave Roland |
figure
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11
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Mesureur
d’angle de couple J-45059 |
Le
nouveau mesureur d’angle de couple essentiel J-45059 a été
récemment expédié aux concessionnaires. Il sert
à assurer le bon serrage des fixations lorsqu’on utilise
la méthode à angle de couple (fig.
12).
Ce nouvel outil diffère des mesureurs d’angle de couple
précédents de plusieurs façons. D’abord,
il ne requiert pas de bras d’ancrage et est donc commode à
utiliser même dans des espaces restreints. Deuxièmement,
il ne mesure pas le couple initial mais seulement l’angle final.
Ainsi, vous pourrez utiliser votre clé dynamométrique
normale, avec le mesureur d’angle.
Un bref aperçu de la science du serrage des fixations
Le frottement est la résistance au mouvement rotatif entre deux
surfaces. Il est présent entre les filets d’une fixations
et ceux d’un composant, et entre la tête de boulon et la
surface du composant. Lorsqu’une fixation filetée est serrée
à l’aide d’une clé, presque 90 % du couple
appliqué est nécessaire pour surmonter le frottement.
Seul 10 % de cette force sert à maintenir les composants ensemble.
Cet aspect se nomme charge de serrage.
Le frottement d’une fixation et la charge de serrage peuvent être
affectés par la propreté des filets, leur dimension, la
façon dont la fixation est utilisée et l’ajustement
de la clé sur la tête du boulon.
Il est toujours important d’obtenir une charge de serrage constante,
mais cela pose de nouvelles préoccupations face aux composants
légers des moteurs modernes. Le serrage excessif peut entraîner
la distorsion des pièces (comme les alésages de cylindres)
et un serrage insuffisant peut entraîner des fuites et le desserrement
des pièces.
Angle de couple
Il est actuellement assez courant d’assembler les pièces
temporairement à la charge de serrage appropriée avant
de les usiner. Par exemple, les alésages de cylindres sont usinés
à l’aide de plaques d’alésage boulonnées
et serrées sur le bloc-moteur. Les coussinets de tête de
bielle et les paliers de vilebrequin sont usinés avec des chapeaux
serrés en place. Lorsque ces pièces sont assemblées
à l’usine, ou réassemblées dans l’atelier
d’entretien après réparation, il est nécessaire
d’appliquer un même couple uniforme de serrage aux fixations
pour assurer que les pièces prennent leur forme appropriée
telles qu’usinées.
Lorsqu’un boulon est serré, il s’étire un
peu. Ce phénomène se nomme déformation élastique.
Lorsque le boulon s’étire, on peut prédire sa charge
de serrage.
Lorsqu’un boulon tourne d’un tour, il se déplace
d’une distance équivalent à la distance entre deux
filets adjacents. Par exemple, un boulon ayant 18 filets par pouce se
déplace d’un 1/18 de po par tour.
Les ingénieurs peuvent calculer la quantité nécessaire
d’étirement pour un boulon, afin d’appliquer la bonne
charge de serrage. Cela est directement proportionnel à la distance
de rotation d’un boulon, en degrés. En indiquant combien
un boulon doit tourner (mesuré en degrés), après
que le couple préliminaire est atteint, les ingénieurs
peuvent contrôler précisément la charge de serrage.
Une installation type de culasse peut demander un serrage par étapes
des boulons. Par exemple, sur les boulons de culasse L18, serrer d’abord
à 30 Nm. À la deuxième étape, vérifier
s’il y a bien 30 Nm et serrer à 120° dans l’ordre.
À la troisième étape, compte tenu de la longueur
des boulons :
- serrer les boulons 1, 2, 3, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 14, 16, 17, 60°
de plus;
- serrer les boulons 15 et 18, 45° de plus;
- serrer les boulons 4, 5, 12, 13, 30° de plus.
Le mesureur d’angle de couple J-45059 sert à mesurer le
serrage en degrés.
Utilisation du mesureur d’angle de couple J-45059
Voici les faits saillants. Voir les instructions fournies avec le mesureur
pour obtenir tous les détails.
Le mesureur d’angle J-45059 est conçu pour être utilisé
avec une rallonge standard à prise de 1/2 po et un cliquet ou
une clé dynamométrique.
CONSEIL : Le boulon doit déjà
être serré au couple initial spécifié avant
le serrage à angle final.
D’abord, allumer le mesureur; la dernière valeur indiquée
est affichée; utiliser les flèches haut/bas pour régler
l’angle voulu sur l’affichage. La gamme varie de 0 à
199° par étapes de 1°.
Fixer le mesureur à la rallonge de 1/2 po, le plus près
possible de la douille, à l’aide la pince à ressort
(fig. 13).
Glisser la douille sur le boulon. Sans tourner le boulon, appliquer
une pression dans le sens de serrage pour éliminer le jeu de
la clé. Puis, appuyer sur le bouton on/zéro et maintenir
jusqu’à ce que le mesureur émette un court bip et
clignote.
Serrer le boulon. Lorsque l’angle préréglé
est atteint, le mesureur émet un long bip et clignote à
nouveau.
Après utilisation, le mesureur s’éteint de lui-même
en moins d’une minute afin de ne pas décharger la pile.
- Merci à Tracy Flood et Ron Minoletti |

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Conditions
de la boîte-pont 4T65E |
Les
propriétaires des véhicules 2003 équipés
de la boîte-pont automatique 4T65E (RPO MN3, MN7, M15 et M76)
peuvent faire part d’un changement de vitesse difficile, de broutement
du TCC à la décélération, de l’application
du TCC en deuxième vitesse et d’un DTC P0742. Cela peut
être causé par une défaillance interne du solénoïde
du PWM (Modulateur de largeur d’impulsion).
Trouver le code de date, indiqué sur le connecteur électrique.
Remplacer le solénoïde si la date se trouve entre 2217 et
2240. Le solénoïde suspect fuit entre les joints toriques,
indiqué à la (fig. 14).
A Code de date
B Fuite (petites flèches indiquant les joints toriques)
Les transmissions dont la date de construction précède
le code de date 254 (estampé sur le côté supérieur
droit de l’étiquette de transmission) sont estimées
comme contenant des solénoïdes du PWM suspects.
Afin d’établir si le solénoïde est la cause
de ces conditions, faire un essai sur route du véhicule avec
le Tech 2 branché et surveiller la pression de déblocage
de transmission. L’état doit être YES (OUI) jusqu’à
ce que le TCC soit appliqué, puis l’affichage doit indiquer
NO (NON).
Soupçonnez le solénoïde du PWM si l’état
demeure à NON pendant l’accélération, si
le passage à des vitesses supérieures est difficile et
que le véhicule broute pendant la rétrogradation en décélération.
Une autre méthode consiste à brancher un Tech 2, passer
à la plage Drive et passer à la main la troisième
à l’aide du Tech 2. Si le moteur hésite et/ou cale,
soupçonnez le solénoïde du PWM.
Remplacer ce solénoïde (article 334 dans le guide du technicien
4T65E). Le numéro actuel de la pièce est le 24214974,
le numéro d’opération de main-d’œuvre
est le K6557.
IMPORTANT : Ne pas remplacer le corps de
soupape si les soupapes semblent toutes fonctionner librement.
- Merci à Darryl Butler |

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14
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Bulletins
– Décembre 2002
La présente
revue des bulletins de service publiée jusqu’à la
mi-décembre, répertorie le numéro du bulletin,
le numéro de bulletin de remplacement (le cas échéant)
ainsi que les sujets et les modèles. |
00
– Information générale
99-00-89-015B; remplace 99-00-89-015A; véhicule de soutien léger
(LSSV); Chevrolet Silverado, Suburban, Tahoe quatre roues motrices 1999
à 2003, modèles avec ajout militaire.
01 – CVC
02-01-39-007; épuisement de la batterie par CVC automatique deux
zones; camions LD et Hummer H2 2003.
02 – Direction
02-02-32-012; cliquetis / cognement dans les virages sur route en mauvais
état (pas de réparation en ce moment, la réparation
est en cours de développement); Chevrolet Cavalier, Pontiac Sunfire
1999 à 2002.
03 – Suspension
01-03-10-012A; remplace 01-03-10-012; directives concernant l’utilisation
des alignements de roues E2020, le réglage du pincement E2000
et équilibrage des roues E0200, E0201, E0203, E0204; voitures
de tourisme et camions LD 1989 à 2003, Hummer H2 2003.
02-03-08-008; cliquetis/craquement/éclatement provenant du devant
du véhicule dans les virages (remplacer les deux supports isolants
de la barre de stabilisation avant); Chevrolet Cavalier, Oldsmobile
Alero, Pontiac Grand Am, Sunfire 2002-2003 avec suspension FE1 ou FE2.
04 – Essieu de chaîne cinématique
01-04-18-001A; remplace 01-04-18-001; caractéristiques de chaîne
cinématique pour système toutes roues motrices et quatre
roues motrices; modèles de camion LD 2003 et précédent
avec toutes roues motrices ou quatre roues motrices.
02-04-21-006A; remplace 02-04-21-006; voyants ou système quatre
roues motrices/toutes roues motrices inopérants; camions LD 2002-2003
avec changement de vitesse électronique ou boîte de transfert
active (RPO NP1, NP4 ou NP8).
05 – Freins
02-05-22-004B; remplace 02-05-22-004; freins de remorque serrés
lorsque les phares ou les feux de stationnement sont allumés,
illumination de la commande de freinage (modifier le faisceau de câblage
de la commande de freinage); camions LD et Hummer H2 2002-2003 sélectionnés
02-05-27-001A; remplace 02-05-27-001; système de freins antiblocage
(ABS) voyants allumés lorsque la prise de force (PTO) est enclenchée
(remplacer le module de commande électronique de freinage (EBCM));
camions Chevrolet et GMC 2001-2002 sélectionnés avec freins
antiblocage pneumatiques (RPO JE5) et transmission automatique Allison.
06 – Moteur / système de propulsion
02-06-01-022A; remplace 02-06-01-022; renseignements sur le cliquetis
du moteur; camions LD 2002-2003 sélectionnés, avec moteur
Diesel Duramax 6,6 L (NIV 1 -- RPO LB7).
02-06-02-011; surchauffe du moteur et/ou bruit excessif provenant du
moteur du ventilateur de refroidissement électrique (au besoin,
installer un écran de ventilateur de refroidissement et un capot
de moteur sur le module du ventilateur de refroidissement); Chevrolet
Impala 2002 avec RPO sélectionnés.
02-06-03-011; fiche diagnostique du système électronique;
voitures de tourisme et camions LD 1997 à 2003, Hummer H2 2003.
02-06-03-012; procédures diagnostiques appropriées pour
absence de démarrage, absence de lancement, batterie, alternateur,
instruments, SES, SIR, sécurité des freins, antivol, ABS,
moteur chaud, DIC, messages, voyants, éclairage, essai diagnostique;
voitures de passager, camions LD, Hummer H2 1997 à 2003.
02-06-04-026A; remplace 02-06-04-026; retour de flamme de moteur et
autres problèmes de conduite; autobus scolaire Chevrolet et GMC
B7 et modèles MD à cabine conventionnelle C6-7 1999 à
2002 avec moteur 7,4 L ou 8,1 L (NIV B, E – RPO L21, L18) et système
de carburant LPG des technologies IMPCO/Quantum.
02-06-04-052; calage du moteur, absence de démarrage, démarrage
difficile (réparer le circuit d’alimentation de la pompe
de carburant); MD de série H6-7 C Chevrolet et GMC 1990 à
2002 avec moteur à essence.
02-06-04-053; DTC révisé P0403, circuit de commande du
solénoïde de recirculation des gaz d’échappement
(RGE); Chevrolet Venture, Oldsmobile Silhouette, Pontiac Montana 2000
avec moteur 3,4 L (NIV E — RPO LA1).
02-06-04-054; effort accru sur la pédale d’accélérateur
(nettoyer le corps de papillon et régler le papillon lui-même);
véhicules sélectionnés avec moteurs V8 4,8 L ou
5,3 L (NIV V, T, Z -- RPO LR4, LM7, L59).
02-06-04-055; il est difficile de procéder au remplissage de
carburant (installer un déflecteur de remplissage); Chevrolet
Express, GMC Savana, 2003 excepté les véhicules équipés
d’une portière gauche et les fourgonnettes tronquées,
cube et châssis-cabine.
02-06-05-005; bruit de ferraille provenant de l’écran antichaleur
d’échappement/silencieux, bruit d’éclatement
sous le véhicule (installer des courroies de retenue du bouclier
antichaleur sur le silencieux); Cadillac Escalade, GMC Denali 2002 avec
moteur à essence 5,3 L ou 6,0 L (NIV T, N -- RPO LM7, LQ9).
07 – Transmission / boîte-pont
02-07-30-032A; remplace 02-07-30-032; mise à jour de la procédure
d‘apprentissage rapide du module de commande de transmission Allison,
requise à la réparation de la transmission; Chevrolet
Silverado, GMC Sierra 2002-2003 avec transmission automatique de série
1000 Allison.
02-07-30-040; passage difficile de la plage de stationnement à
la plage marche avant (Park to Drive) (remplacer la glissière
d’indicateur de passage de vitesse dans la console sur plancher);
Pontiac Aztek 2001-2002.
02-07-30-042; réparations d’entretien des transmissions
Allison; Chevrolet Kodiak et GMC TopKick 2003 sélectionnés
avec transmission Allison de série 1000-2400.
02-07-30-043; réparations d’entretien des transmissions
Allison; Chevrolet Silverado et GMC Sierra HD 2500 et 3500 2001 à
2003 sélectionnés avec transmission Allison de série
1000 (RPO M74).
02-07-30-046; information d’entretien sur le corps de soupape
et la pompe à huile de boîte-pont de conception neuve,
véhicules 2002-2003 sélectionnés avec boîte-pont
4T65E, RPO MN3, MN7, M15, M76.
02-7-30-048; remplacement du solénoïde de commande de pression
pour les boîtes-ponts / transmissions 4T65-E, 4T40-E et 4T45-E;
véhicules sélectionnés 2000 à 2003 avec
codes RPO MN4, MN5, M13, M15, MN3, MN7 OU M76.
08 – Carrosseries et accessoires
02-08-42-005; feu rotatif de toit pour chasse-neige (lampe) inopérant
(installer un câblage de contournement); Chevrolet Silverado,
Suburban, Tahoe, GMC Sierra, Yukon, XL 2003 avec dispositif d’accrochage
de chasse-neige (RPO VYU) et dispositif de fixation de phare tournant
sur le toit (RPO TRW/5G4).
02-08-44-018; information diagnostique concernant l’absence d’audio
des hauts-parleurs d’une ou plusieurs voies; Cadillac Escalade,
Chevrolet Silverado, Suburban, Tahoe, GMC Sierra, Yukon, XL, Hummer
H2 2003 avec systèmes de sons Bose haut de gamme.
02-08-46-010A; remplace 02-08-46-010; programmation du module OnStar
pour reconnaissance vocale en français canadien; voitures de
tourisme sélectionnées 2003, camions LD, Hummer H2 avec
OnStar.
02-08-48-001; adhésif uréthane pour vitre fixe —
matériau additionnel reconnu; voitures de tourisme et camions
2003 et précédents, Hummer H2 2003.
02-08-49-004A; remplace 02-08-49-004; groupe d’instruments du
tableau de bord (IPC), instruments ayant une lecture de zéro
quelquefois, inopérant d’autre fois (reprogrammer l’IPC);
Chevrolet TrailBlazer, EXT, GMC Envoy, XL, Oldsmobile Bravada 2002.
02-08-62-004; carénage frontal ondulé (installer des serrures
jumelées); TrailBlazer, EXT de Chevrolet 2002-2003.
02-08-63-003; les fixations du couvercle du carénage frontal
du pare-choc s’arrachent du carénage (carénage de
garniture); Chevrolet Avalanche 2002-2003.
02-08-64-022; il faut cycler les rétroviseurs électriques
escamotables pour qu’ils demeurent en position verrouillée
après le transport; camions LD 2003 avec rétroviseurs
extérieurs électriques escamotables (RPO DL3), Hummer
H2 avec rétroviseurs extérieurs électriques escamotables
(RPO DL7).
02-08-110-006; remplacement révisé de pare-soleil; Chevrolet
TrailBlazer, EXT, GMC Envoy, XL, Oldsmobile Bravada 2002-2003.
02-08-127-001; disponibilité du câblage de remplacement
du capteur d’aide au stationnement arrière; Chevrolet Venture,
Oldsmobile Silhouette, Pontiac Montana 2001 à 2003.
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